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Conférence : Quand la pathologie altére les souvenirs....
Publié le 7 février 2017 – Mis à jour le 28 octobre 2019
le 16 mars 2017
18h30
Collège Pierre de Fermat, Parvis des Jacobins, Toulouse, entrée libreConférence de Virginie Voltzenlogel et Christine Cuervo-Lombard Ouvert à tous
Quand la pathologie altère les souvenirs…
Christine Cuervo-Lombard, MCF en Psychologie gérontologique et Virginie Voltzenlogel, MCF en Neurosciences à l’UFR de Psychologie de l’Université Toulouse 2 – Jean Jaurès, Centre d'Etudes et de Recherches en Psychopathologie et Psychologie de la Santé (EA 7411)
Notre mémoire autobiographique (Mab) constitue le socle de notre identité personnelle, elle permet la remémoration consciente des expériences personnelles situées dans leur contexte spatio-temporel d’acquisition. Les souvenirs définissant le soi (SDMs) sont des souvenirs centraux dans la vie d’un individu. Ils sont chargés d’émotions, très vivaces et en rapport avec les intérêts actuels ou les conflits non résolus. La MAb est altérée dans diverses pathologies psychiatriques (comme la schizophrénie) ou neurologiques (comme la sclérose en plaques ou la maladie d’Alzheimer) ou encore dans l’alcoolo-dépendance. L’étude des SDMs dans ces mêmes populations a montré l’existence de caractéristiques spécifiques.
Christine Cuervo-Lombard, MCF en Psychologie gérontologique et Virginie Voltzenlogel, MCF en Neurosciences à l’UFR de Psychologie de l’Université Toulouse 2 – Jean Jaurès, Centre d'Etudes et de Recherches en Psychopathologie et Psychologie de la Santé (EA 7411)
Notre mémoire autobiographique (Mab) constitue le socle de notre identité personnelle, elle permet la remémoration consciente des expériences personnelles situées dans leur contexte spatio-temporel d’acquisition. Les souvenirs définissant le soi (SDMs) sont des souvenirs centraux dans la vie d’un individu. Ils sont chargés d’émotions, très vivaces et en rapport avec les intérêts actuels ou les conflits non résolus. La MAb est altérée dans diverses pathologies psychiatriques (comme la schizophrénie) ou neurologiques (comme la sclérose en plaques ou la maladie d’Alzheimer) ou encore dans l’alcoolo-dépendance. L’étude des SDMs dans ces mêmes populations a montré l’existence de caractéristiques spécifiques.